En 2009, l'annonce de la réélection de Mahmoud Ahmadinejad dès le premier tour avait provoqué des heurts entre police et partisans des deux candidats réformateurs,
www.2013jordan.fr/, Mir Hossein Moussavi et Mehdi Karoubi,
Air Jordan, puis plusieurs semaines de manifestations de masse qui dénon?aient des fraudes massives.
Le mouvement avait été sévèrement réprimé par le pouvoir et les deux ex-candidats sont en résidence surveillée depuis 2011,
aube de l www.2013nikeshox.fr_2.
Malgré la chaleur, les électeurs ont formé toute la journée de longues queues devant plusieurs bureaux de vote de Téhéran,
www.2013nikeshox.fr/,
, a constaté l'AFP. A 21H00, ils étaient encore nombreux à attendre de voter.
A l'étranger,
Air Max, le Rapporteur spécial de l'ONU sur les droits de l'Homme en Iran Ahmed Shaheed a estimé que le scrutin n'était pas "libre et équitable" et Washington a dénoncé un "manque de transparence".
L'un des premiers à voter, le guide suprême Ali Khamenei a appelé à la mobilisation pour "la prospérité et le bonheur du pays".
M. Ahmadinejad ne peut pas briguer un troisième mandat consécutif et la course semble se jouer entre Hassan Rohani, un religieux de 64 ans et candidat unique des modérés et réformateurs, et trois conservateurs qui ont refuser de former des alliances: l'ex-chef de la diplomatie Ali Akbar Velayati, le maire de Téhéran Mohammad Bagher Ghalibaf et le chef des négociateurs nucléaires Sa?d Jalili.
Un second tour aura lieu le 21 juin si aucun des six candidats n'obtient plus de 50% des voix.
"Ne pensez pas qu'en ne vous dépla?ant pas, vous allez régler un quelconque problème", a dit M. Rohani après avoir voté à Téhéran,
dans la vie de tous les jours www.2013jordan.fr_2, tandis que M. Velayati appelait "tous les Iraniens à voter".
L'économie, préoccupation majeure
Les premiers résultats pourraient être annoncés samedi. Le Conseil des gardiens de la Constitution, chargé de superviser le scrutin, a prévenu que personne n'avait "le droit de se déclarer vainqueur avant".
Pour le camp réformateur, l'enjeu est de mobiliser les abstentionnistes, ceux qui avaient manifesté contre la réélection de M. Ahmadinejad puis juré de ne plus participer à un scrutin qu'ils estimaient joué d'avance.